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Avis des lecteurs

24 message(s) dans le livre d'or

insecte-noir-transparent-5.pngPartagez votre avis sur les romans Lucane que vous avez lus.

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    • sophie Le 01/11/2020
    j'ai lu " à la vie à la mort" après avoir lu "dose létale 50" , et j'ai également adoré . le suspens y est , on est avec les personnages , on vit l'histoire , on la dévore , en plus on fait de la montagne !! et le fait d'alterner le vécu de chacun des personnages , par chapitre est super . j'attends le prochain ..... !! méga bravo !
    • sophie Le 01/08/2020
    "Dose létale 50"
    Lorsque j'ouvre un livre , ce que j'aime et ce que j'attends , c'est la découverte et la surprise. Et puis j'aime les bons polars , et le suspens qui les caractérise. En ouvrant "Dose létale 50", tout était là et l'envie d'assister à l'enquête m'a tenue jusqu'à la fin. Les personnages sont eux mêmes surprenants , suscitent des sentiments , des interrogations. Tout comme il faut ! et puis c'est bien écrit ! bref j'ai beeeeeaaaaauuuuuucoup aimé ! il est juste un peu trop vite lu ! ce sera son seul défaut !!
    • Paulette Le 07/07/2020
    "L'âme en vrac" : dans ses nouvelles, Anne Lasserre-Vergne sait trouver des mots pour chasser les maux, en les regardant plaisamment, en nous racontant des histoires qui font vivre les outils, qui nous font regarder les oiseaux, les voisins, la famille comme autant de curiosités si proches de nous-mêmes. C'est un miroir qu'elle nous tend. Il traduit des reflets, des lueurs, des vérités éternelles aussi.
    • Marie Ida Artusi Tessier Le 23/06/2020
    "Dose létale 50" de Henri Courtade : Avec les recommandations et les félicitations du « jury » et un merci particulier pour la dédicace ;-))
    Mes remerciements pour ces moments d’agréable et enthousiasmante lecture et de redécouverte de la prose de M. Courtade sous un autre angle que celui strictement professionnel. De trop rares moments de détente et de lecture « pour le plaisir » casés, par bribes, entre des lectures plus professionnelles.
    Je lirai de nouveau ce roman, sans doute d’une seule traite ou guère plus, si on m’en laisse le temps
    • étienne Le 23/06/2020
    "L'âme en vrac" d'Anne Lasserre-Vergne : Des nouvelles denses et légères, des personnages qui nous tendent un miroir. La littérature est quête d'universalité en vertu de cet écho fraternel que, lecteurs, nous guettons. Les personnages s'interrogent sur l'absence, la liberté, l'identité, le couple, l'existence..., et le lecteur aussi.
    • Dhers Catherine Le 06/06/2020
    "L'âme en vrac" d'Anne Lasserre-Vergne : Tous les personnages ont une sensibilité à fleur de peau, ils sont là, dans le monde, et pourtant ils ont du mal à trouver leur place. Ils sont doubles, et cette dualité les torture : c'est le cas d'Antoine qui ouvre le grand placard, celui de son enfance et qui, désappointé, perdu, n'y trouve que des pots de confiture d'orange amère. Les pots de confiture sont à leur place, mais, lui, cherche autre chose... Même les outils, dans la nouvelle "Moi, moi, moi" , cherchent leur place, et pourtant chacun a un rôle à jouer, mais il a besoin de le dire : "moi, moi, moi", comme dans ces jeux d'enfants où chacun veut être vu, choisi, appelé...
    A la fois très douloureux et très humains, ces personnages nous entraînent dans les replis de l'âme , dans la dualité de celui qui cherche sans cesse, qui se cherche sans cesse ; ils sont à la fois désespérés et lumineux.
    • Sylvie Loutrel Le 17/11/2019
    Cécile CALLAND, "Pris dans la toile"
    Eh bien voilà, je l'ai commencé avant de dormir. Bien mal m'en a pris, car j'ai eu du mal à décrocher. Dès les 1ers chapitres, on est dedans : dans l'histoire et avec les personnages. Du coup, mon dimanche a consisté à finir le livre. Il tient en haleine et ne se finit pas en une heure ! Sans rien de superflu.
    La trame policière, démanteler un réseau de prostitution infantile, pourrait écraser le reste ; eh bien non. La place de la peinture, qui sert d' appât, aurait pu alourdir et complexifier l'intrigue. Eh bien non. Tout est savamment dosé. Avec toutes mes recommandations.
    PS cette maison d'éditions est humaine et très réactive. N 'hésitez pas.
    • Catherine Calay Le 07/11/2019
    Cécile CALLAND, "Pris dans la toile"
    Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître. Il y a longtemps que je ne m’étais pas plongée dans un roman avec autant de délectation, de bonheur. J’ai été séduite par la force et la vérité des personnages si profondément humains. On s’attache à eux comme à des amis. Malgré l’univers noir soulevé par l’enquête, il y a comme une grâce en eux, une bienveillance ; ils affrontent le monde comme ils peuvent, mais avec humanité, même Tosal. On aimerait croiser Nowak et Vivarelli. J’ai été séduite par l’absence de clichés liés plus ou moins au genre, par la façon très personnelle de traiter le roman policier, en en faisant un roman psychologique et social à la fois. Séduite par le fil conducteur : la peinture, qui fait partie de l'enquête, donne une tonalité et des couleurs particulières au roman. J’ai été séduite par la composition et le style. Dès les premières pages, le lecteur est happé. Le style est enlevé, les dialogues aussi.
    Bravo les éditions Lucane ! Vous avez découvert un autre auteur de talent.
  • Pris dans la toile de Cécile Calland
    Un polar très bien mené par une auteure talentueuse dont j'attends avec impatience la publication d'un deuxième roman. Ecrit avec aussi humour et finesse. Que du bonheur. A emmener dans son sac de voyage pour les vacances. Philippe Poisson, CriminoCorpus.
    Philippe POISSON - Gestionnaire du carnet criminocorpus
    • Jean-Paul Abadie Le 14/08/2017
    "Moi, je conduirai les chevaux", Anne Lasserre-Vergne
    Voila un auteur dont il faut apprécier aussi bien l'écriture, que les chroniques radiophoniques sur les Pyrénées à Radio Présence. Merveilleux!!! Je viens de terminer "Moi je conduirai les chevaux" et il faut dire que l'écriture de ces petits textes est apte à vous faire perler quelques petites larmes d'émotions. Ce n'est pas noir mais joliment traité avec agilité et délicatesse et même parfois avec un soupçon de surréalisme mais surtout un rapprochement à Jean Giono (pardon pour comparer peut-être).
    • Elodie Pamier Le 12/10/2016
    Bravo Henri Courtade ! Bravo les éditions Lucane ! Lectrice, assurément je le suis. Mais je n'avais encore jamais lu un tel ouvrage. "Le Village des oubliés" est un livre que l'on ne quitte pas. Dès les premières pages, on est emporté dans un autre univers par le style du narrateur. Et la construction même de l'ouvrage, qui repose sur l'alternance de deux époques - 1944 et 1982 -, fait qu'un chapitre en appelle un autre. Le temps prend une autre dimension, les événements aussi, puisque les deux époques s'entremêlent. L'été de 1982 résonne comme un écho de juin 1944. Quant à la chute, je ne la révélerai pas, car, malgré toutes mes hypothèses, j'étais loin de la soupçonner. Merci, merci aux salons du livre qui nous permettent de rencontrer les éditions Lucane et de discuter avec Henri Courtade.
    • Elise Delmas Le 09/10/2016
    Si vous n'avez pas encore lu "Le Village des oubliés", je vous recommande ce roman noir, écrit par Henri Courtade. La construction remarquable, le style incisif plongent le lecteur dans la vie d'un village des Pyrénées dont les habitants sont marqués par les deux guerres mondiales. Les scènes,qu'elles soient pathétiques, tragiques, réalistes ou emplies de poésie, s'imposent à nous. Bien après avoir fermé le livre, les personnages nous accompagnent encore, nous interrogent tant leur présence devient réelle au fil des pages. La force du livre, c'est que l'on ne sort pas tout à fait "indemne" de cette lecture ou du moins que l'on est obligé de regarder en face certains aspects de la nature humaine que l'on préfère souvent ignorer. Mais l'on en sort comme grandis.
    • MD01 Le 13/05/2015
    Les aventures de Markos et Vanessa : Tome 3 : "Marseille et au-delà"
    Après « La Treizième Pièce » et « La Métamorphose du Solstice », l’aventure nous transporte cette fois des belles collines provençales jusqu’au cœur de la cité phocéenne ! Encore plus d’émotions, de l’action et toujours de magnifiques illustrations pour un récit profond et accessible. C’est un vrai bonheur de retrouver Markos et Vanessa ! Que vous ayez 10 ou 70 ans, prenez le temps, laissez-vous emmener « au-delà », que l’air s’échappant de chaque page vous oxygènent tout entier ... Une fin en apothéose pour une trilogie franchement réussie qui gagne à être découverte par le plus grand nombre ^^
    • Pierre Marie Plantier Le 02/12/2014
    Kléber de Henri Courtade
    Bravo et merci pour votre présentation de ce qu'a été cette 1ère Guerre Mondiale et en particulier la bataille de Verdun. Mon grand-père y était en tant que médecin de 1ère ligne avec le 144° RI et j'ai connu un certain nombre de ses soldats, blessés, gueules cassées, qui n'étaient certainement pas des lâches, avaient survècu, souffraient tous les jours de leurs blessures mais restaient résolument convaincus qu'ils avaient eu raison. Cela m'a consolé de certains ouvrages, notamment illustrés, qui veulent présenter les combattants comme des défaitistes blasés. Si tel avait été le cas, jamais les armes françaises ne se seraient imposées. Un grand merci donc.
  • bonjour,
    je me suis laissée emporter par le murmure des attentes de P.Nonie. Au delà de l'histoire, j'ai retrouvé ces questions en attente d'une hypothétique réponse qui jonchent le parcours de chacun d'entre nous
    simplement merci pour un moment de lecture agréable et d'évasion
  • Je termine à l'instant Kléber. Je suis émue. La Der des Der a été la boucherie de toute une génération. Henri Courtade la décrit sans jamais tomber dans le gore. C'est un hommage à Kléber mais aussi à tous les poilus, embarqués là trop jeune dans une histoire qui n'était pas la leur. Mon arrière-grand-père était un poilu. Il est mort au chemin des Dames son nom parmi des milliers est sur une stèle en dessous de laquelle il ne repose pas. Il n'a pas été retrouvé. En lisant Kléber j'ai beaucoup pensé à lui, je raconterai son histoire à mes enfants. Il ne faut pas oublier ces anonymes mort pour la France. Merci Henri Courtade pour ce magnifique livre.
  • "La 13ème pièce" Un vrai régal de légèreté, suspense, nouvelle et histoire en même temps, ça se déguste, c'est très frais, aussi distrayant pour des jeunes que pour des adultes... A consommer sans modération, réellement !
    • Danielle GINOUX Le 24/02/2013
    La Treizième Pièce de Flora del Sol, Syhaey , Marmel
    Un livre jeunesse que j'ai dévoré, mon fils vient lui aussi de s'y plongé. Ecriture vivante, pleine de sincérité, je me suis laissée guidée par Markos et Vanessa tout le long de cette aventure. J'ai hâté de connaître la suite de leur amitié. A vos plumes Mesdames les créatrices. Merci pour moment d'évasion.
    • nicole Le 07/02/2013
    La treizième piece - flora del sol- syhaey- marmel
    je n'ai pas laché le livre avant d'avoir lu la dernière page. J'attends la suite: comment Markus va-t-il sortir de cette piece pour se faire connaitre de Vanessa ? Melange agréable de deux mondes, Auriol et la mythologie. Une bonne idée : les explications à la fin de chaque chapitre. Allez les filles, vite le deuxième tome......
  • "à la vie, à la mort" de Henri Courtade
    trés agreable moment passé avec ce polar original melant à la fois le style du roman régional et la précision ,le suspense d'un bon polar ! je pense que je vais acheter les précedents....En vérité j'ai passé un trés bon moment mais les bons sentiments evoqués sont ils encore présents dans notre monde?j'en doute! de tote maniere un grand merci...

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